Ma charte éthique

La charte ci-dessous résume l’engagement que je prends vis à vis des personnes que j’accompagne.
Elle est le garant de bonnes pratiques que tout praticien se doit de respecter.

 

  • Les séances ne se substituent en aucun cas à un avis et suivi médical, et le praticien n’effectue pas de diagnostics. Ses pratiques interviennent en complémentarité, dans le registre de l’accompagnement de la personne, de l’évolution personnelle et du bien-être. Le praticien n’a pas d’obligation de résultat, cependant, il est tenu à une obligation de moyens en utilisant les techniques les plus adaptées à la demande concernée.

 

  • Le secret couvre tout ce qui est venu ou vient à la connaissance du praticien dans l’exercice de sa profession, non seulement ce qui lui a été confié mais aussi ce qu’il a vu, perçu, entendu, compris ou ressenti. Il a l’obligation de poursuivre au mieux les intérêts de son client, avec pour seules limites, celles que la loi lui impose.

 

  • Le praticien est garant de ses qualifications qui définissent ses propres limites, compte tenu de ses formations et refuse toute intervention lorsqu’il sait ne pas avoir les compétences nécessaires.

 

  • Le praticien ne devra pas prétendre à des pouvoirs ou à des formations qu’il n’a pas. Il devra être prudent dans ses engagements. Il ne fera pas de promesses qu’il ne pourra pas tenir. Il s’abstiendra de toute publicité mensongère.

 

  • Le praticien tient ses connaissances théoriques et pratiques mises à jour régulièrement par une formation continue et une supervision.

 

  •  Le praticien dispose sur le lieu de son exercice professionnel d’une installation convenable, de locaux appropriés pour permettre le respect du secret professionnel.

 

  • Avant toute intervention, le praticien s’assure du consentement des personnes qui le consultent. Il les informe des modalités, des objectifs et des limites de son intervention. Dès le début de la thérapie, il doit attirer l’attention de son client sur ses droits et souligner les points suivants : → type de méthode employée (s’il le juge approprié à la situation du client). →conditions de travail (y compris les conditions d’annulation ou d’arrêt). → conditions financières (honoraires, prises en charge, règlement des séances manquées). → secret professionnel.

 

  • Sous prétexte de faire avancer la science, le praticien ne peut en aucun cas prévaloir sur l’intérêt du patient et de son traitement.

 

  • Le praticien refuse toute demande d’un tiers qui recherche un avantage illicite ou immoral ou qui fait acte d’autorité abusive dans le recours à ses services.

 

  • Dans le cas où le praticien se voit dans l’obligation d’arrêter son intervention, il prend les mesures appropriées pour que la continuité de son action professionnelle soit assurée par un collègue, avec l’accord des personnes concernées et sous réserve que cette nouvelle intervention soit fondée et conforme à sa déontologie.